En matière de consentement aux soins, le paternalisme médical doit être relégué aux oubliettes, rappelle la Cour supérieure

Sauf urgence, le consentement éclairé du patient, donné directement ou par consentement substitué, est une condition préalable pour recevoir des soins médicaux. Cette exigence repose sur les principes fondamentaux de l’inviolabilité de la personne et du droit à l’autodétermination du patient.

Me Étienne Giasson, de notre groupe Erreurs médicales et blessures corporelles, a publié un nouveau commentaire pour La Référence aux Éditions Yvon Blais, sur la décision Levine c. Mohr de la Cour supérieure. Cette décision rappelle que le consentement ne peut pas être pris à la légère par le corps médical, que les médecins doivent aujourd’hui mettre de côté le paternalisme médical dont ils ont pu faire preuve dans le passé à l’égard de leurs patients et les laisser décider s’ils acceptent les examens et traitements proposés.

Vous pourrez lire ce commentaire en cliquant ici. 

Vous pourrez lire ce jugement en cliquant ici.